Je suis
en entre-deux, l’instant est à ma présence au monde et à l’observation
attendrie de cette présence.
Me
revoilà donc par écrit.
L’année
ici se termine.
Tu es en
voyage, tu trouveras mes mots en janvier prochain…des pas sur un pont,
au-dessus des fêtes.
Les
festivités calendaires m’ennuient. Je préfère comme toi, la vacance, le
temps libre dans la dilution joueuse. Je rêve d’un ,
de la méditerranée, de l’insouciance de nos rires. Bref : je parle de
‘’Nos Vacances’’. |