J’ai aussi retrouvé sur la plage Daouda le poète, j’ai entre-lu ses textes et poèmes dans le cahier d’écolier. Un chantier graffité, des notes, des ratures, des ajouts, c’est un vrai travail construit. Les pages sont belles comme des dessins. Ce que j’ai lu est âpre : la cité, l’humain côté ombre. Un Zola de Mauritanie.