Abou me dit :

Au village (près du fleuve) il n’y a pas beaucoup d’antennes de transmission pour les ondes des téléphones portables. La réception est donc faible. Alors …on les accroche dans les arbres.

 

Les sonneries gazouillent : chacun connaît son oiseau. On parle posé dans l’arbre. Le génie poétique africain a donc inventé une version moderne de "l’arbre à palabres".